L’accompagnement spécifique des victimes de mariages forcés fait défaut. La députée Fatoumata Sidibé (FDF) a déposé une proposition de résolution.
Les mariages forcés, arrangés, subis, précipités sont une réalité que vivent chaque année des jeunes issus de l’immigration. Et bien que cette réalité soit difficile à cerner statistiquement, des études permettent de définir quelque peu l’ampleur du phénomène en Belgique. Ainsi, selon une étude réalisée par l’ULB en 1999 auprès des femmes marocaines et turques de Bruxelles et de la Flandre, 27 % des femmes sondées âgées de plus de 40 ans déclarent avoir été victimes d’un mariage forcé.
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