C’est ce que révèle l’Union nationale des femmes algériennes (UNFA) qui a commémoré jeudi 25 novembre la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard de la femme.
Et pour cause, ces amendements ne prennent toujours pas en considération la protection du témoin, "facteur important pour que la plainte de la victime contre son agresseur soit recevable", soulignent les membres de l’UNFA.
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Source : El Watan