Les autorités congolaises refusent en particulier d’arrêter l’ex-chef rebelle tutsi Bosco Ntaganda, enrôlé au grade de général de l’armée congolaise, afin de le traduire devant la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes de guerre, notamment le viol des femmes et jeunes filles et l’enrôlement d’enfants. Elles ne s’engagent pas plus à faire de telle sorte que les auteurs des crimes ne puissent pas être recrutés par les forces de sécurité.
Par ailleurs, la RDC continue ses manœuvres d’intimidations, de menaces et d’arrestations contre les militants des droits humains et les journalistes.
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Source : AFP ; site de l’OIF